Et si la voyance était une capacité naturelle… volontairement désactivée dès l’enfance ?

Tous les enfants naissent avec une forme de sensibilité profonde : présentiment, rêve lucide, imagination vive, conscience subtile des émotions ou de « choses invisibles ». Certains parlent à des présences, dessinent des symboles sans les connaître, ou expriment spontanément des ressentis étonnamment justes sur les personnes ou les lieux.

Mais quelque chose se passe. Vers l’âge de 5, 6 ou 7 ans, ce canal se ferme. L’enfant « revient sur terre », comme on dit. Il se concentre, s’intègre à l’école, suit le rythme du monde adulte. Et cette sensibilité, autrefois si naturelle, devient floue, refoulée, ridiculisée, oubliée.

Et si cela n’était pas une simple « maturation normale » ?

Et si ce glissement progressif n’était pas un hasard biologique… mais une désactivation programmée ?

Dans certaines théories alternatives, la voyance n’est pas un don exceptionnel réservé à quelques élus. Elle serait au contraire une capacité innée chez tout être humain, une forme d’intelligence parallèle, intuitive, connectée à un champ d’informations non visibles.

Mais cette capacité poserait un problème… dans une société qui valorise le contrôle, l’uniformité, et la dépendance à des structures extérieures.

Dès l’enfance, les outils de désactivation se mettent en place :

• Le système scolaire linéaire, basé sur la mémorisation, la répétition, la logique binaire. Très peu de place est laissée à l’intuition ou à la perception subtile.
• Les rythmes imposés, qui déconnectent les enfants de leur propre cycle naturel et de leur « langage intérieur ».
• Les écrans, qui saturent les champs mentaux et bloquent la zone de l’imagination active.
• L’alimentation industrielle, appauvrie en éléments vivants, surchargée en substances neuro-modulatrices (glutamate, sucre, conservateurs), qui agissent comme des inhibiteurs vibratoires.
• Les ondes électromagnétiques, qui perturbent certaines fréquences cérébrales liées aux états intuitifs (ondes thêta notamment).

Résultat : en quelques années, le canal intuitif est étouffé, enseveli sous des couches de bruit cognitif et de conditionnement.

Pourquoi une telle déconnexion serait-elle encouragée, voire provoquée ?

Parce qu’un individu capable de capter des informations au-delà du visible est moins manipulable. Il ressent. Il questionne. Il perçoit au-delà des mots, des discours, des apparences.

Un être connecté à son intuition remet en cause ce qui ne résonne pas, même s’il ne peut l’expliquer. Il reconnaît les mensonges. Il sent les intentions. Il devient libre intérieurement, même au milieu du chaos.

Autrement dit : une population intuitive est ingouvernable par la peur.

Et cela dérange. Cela contrarie les structures qui préfèrent l’obéissance rationnelle à la lucidité intuitive.

Aujourd’hui, ceux qui se disent voyants ou médiums sont souvent perçus comme marginaux, excentriques ou spirituels. Mais dans cette théorie, ils ne seraient pas des « sensitifs rares »… mais simplement des personnes qui ont gardé ou réactivé un fragment de leur capacité originelle.

Dans les traditions anciennes, la voyance faisait partie intégrante de la société : les chamans, les oracles, les prophètes, les prêtres-astrologues n’étaient pas des illuminés. Ils étaient ceux qui n’avaient pas oublié.

Et peut-être que la montée actuelle de l’intérêt pour le tarot, l’astrologie, la numérologie, les rêves, les synchronicités… est le signe que l’humanité cherche à récupérer quelque chose qu’on lui a subtilisé. Un langage naturel, avant d’être rendu ésotérique.

Dans certains cercles énergétiques, on dit que l’humanité entre dans une période de réouverture vibratoire. Des enfants naissent avec des perceptions déjà actives. Des adultes ressentent des vagues de réactivation, des intuitions fulgurantes, des rêves prophétiques.

Et dans cette lecture, la voyance n’est pas un don à acquérir, mais une fréquence à retrouver.

Elle n’est pas rare. Elle est simplement mise en veille.

Alors la vraie question n’est pas : « suis-je voyant ? »

Mais plutôt : « qu’est-ce qui, dans ma vie, a été conçu pour que je l’oublie ? »