Le rôle secret des femmes médiums pendant les guerres : un chapitre oublié de l’Histoire

Les livres d’Histoire parlent de généraux, de batailles, de stratégies militaires… Mais dans l’ombre des conflits, d’autres forces étaient à l’œuvre. Des forces invisibles.

Et celles qui les canalisaient n’étaient ni soldats ni politiciens. C’étaient des femmes. Des médiums. Des voyantes. Des intuitives.

Leurs noms n’apparaissent pas dans les manuels, mais leur influence a parfois changé le cours de l’Histoire.

Cela peut sembler improbable aujourd’hui, mais pendant la Première et la Seconde Guerre mondiale, les gouvernements, les officiers de haut rang, et même certains scientifiques ont eu recours à la médiumnité.

Pourquoi ? Parce que les radars n’existaient pas toujours. Parce que le chaos de la guerre échappait aux logiques rationnelles. Et parce que, dans l’ombre, certains savaient que certains esprits sont plus fiables que les espions.

Exemples historiques méconnus :

• Des archives de la Seconde Guerre mondiale évoquent des séances de spiritisme organisées par des hauts gradés britanniques, en lien avec la fameuse “Division Z” du MI5, impliquée dans la guerre psychologique.
• En France, des femmes médiums ont été consultées pour prédire l’emplacement des bombardements ou l’issue de certaines opérations stratégiques. Des notes secrètes parlent de visions précises, impossibles à deviner par des moyens conventionnels.

Ces femmes travaillaient dans le silence. En état de transe, de prière ou de concentration profonde, elles captaient des informations au-delà du visible. Certaines se disaient guidées par des esprits de soldats morts. D’autres parlaient à « la Source », ou utilisaient la cartomancie, les pendules, ou l’écriture automatique.

« Le commandement m’a posé une question. J’ai vu une carte, une ligne rouge. Je leur ai dit où passer. Ils sont revenus vivants. »
— Témoignage d’une médium anonyme, recueilli en 1943 (archives non officielles)

Pendant l’Occupation, certaines voyantes ont aidé la Résistance. En canalisant des messages codés sous forme de prédictions, en utilisant des symboles, elles transmettaient des informations sans éveiller les soupçons.

On raconte que certaines consultations étaient en fait des rendez-vous secrets entre espions, déguisés en simples lectures de tarot.

À Lyon, une certaine “Madame E.” aurait aidé à localiser des caches d’armes et à prévoir les descentes nazies… grâce à ses rêves.

Ce qu’on ne vous dit pas assez, c’est que le régime nazi a activement utilisé des médiums, des astrologues et des occultistes.

Heinrich Himmler, chef de la SS, était obsédé par l’ésotérisme. Il a mis en place l’Ahnenerbe, un département de recherches occultes, incluant astrologues et radiesthésistes.

Les médiums femmes y étaient nombreuses, utilisées pour localiser les lieux “d’énergie tellurique”, ou tenter de contacter les “Anciens”.

Ironiquement, à mesure que la guerre tournait mal, Hitler a interdit l’astrologie et la voyance au peuple, tout en continuant à y avoir recours en secret.

Parce qu’il dérange.

Il remet en question l’idée que la guerre ne se gagne qu’avec des armes. Il valorise des femmes dotées de pouvoirs invisibles, à une époque où elles n’avaient pas le droit de vote.

Et surtout : il révèle que des puissances politiques ont toujours eu recours à l’invisible, même si elles s’en défendent.

Elles étaient des gardiennes d’un savoir ancestral, des intermédiaires entre deux mondes, des réseaux de communication spirituelle dans un monde en guerre.

Aujourd’hui, leurs noms sont effacés, leurs histoires oubliées, leurs dons dénigrés par les rationalistes.

Mais chez Contact Voyance, nous savons.

Nous savons que dans l’ombre des champs de bataille, il y avait des âmes sensibles qui ont sauvé des vies, évité des pièges, éclairé des décisions.
Et que leur héritage continue de vibrer dans chaque consultation sincère, chaque flash, chaque vision.